UK – Jeudi 05/10/2017 – energiesdelamer.eu. HR Wallingford a complété un projet de recherche mené pendant dix semaines avec le Département d’ingénierie et de sciences de l’Université d’Oxford et E.ON afin de mieux comprendre les effets de « scour » sur les fondations des éoliennes.
Le projet comprenait l’examen de différentes formes de protection contre les ravageurs afin d’assurer la stabilité des fondations monopiles des éoliennes offshore et l’indentification les stratégies les plus efficaces pour maintenir les performances des fondations.
E.ON et HR Wallingford financent conjointement la recherche et les expériences aux installations de test de laboratoire physiques de HR Wallingford dans le cadre du projet de recherche de la Fondation pour la protection contre la peau.
Toutes les structures de turbines éoliennes monopile vibrent dans une certaine mesure pendant le fonctionnement, avec la fréquence des vibrations résonnantes déterminées par les dimensions monopile, tour, nacelle et lame et les interactions de la fondation avec le sol. Le processus de conception traite de ce comportement du système et produit des profondeurs d’installation optimisées pour chaque installation monopile.
L’érosion autour de la fondation provoquée par le frottement des fonds marins modifie la longueur exposée de la monopile au fond de la mer et peut altérer la fréquence à laquelle le système résonne. Si la structure de la turbine commence à vibrer excessivement, l’éolienne doit être arrêtée, ce qui entraîne une perte de revenus et des coûts de remise en étât potentiellement importants.
Les tests de modélisation physique sont effectués dans la station de flux rapide HR Wallingford qui peut contenir un million de litres d’eau et générer des vagues jusqu’à 1 m de haut et des débits de plus de 2 m / seconde.
Le projet est notamment mené par Russell Mayall, CDT Research Student (E.ON/HR Wallingford) Oxford. L’article en anglais paru dans la quotidienne energiesdelamer.eu du 05/10/2017 présente la communication faite par HR Wallingford.
Le projet comprenait l’examen de différentes formes de protection contre les ravageurs afin d’assurer la stabilité des fondations monopiles des éoliennes offshore et l’indentification les stratégies les plus efficaces pour maintenir les performances des fondations.
peut altérer la fréquence à laquelle le système résonne. Si la structure de la turbine commence à vibrer excessivement, l’éolienne doit être arrêtée, ce qui entraîne une perte de revenus et des coûts de remise en étât potentiellement importants.
